Votée par l’Assemblée Nationale en Septembre 2018, la loi nº 904 pour la liberté de choisir son avenir professionnel est un texte législatif qui a pour but de financer certaines formations professionnelles dont ont besoin certains citoyens français désirant évoluer dans leur carrière ou souhaitant changer de profession. Pour bénéficier des avantages de cette loi, il est important d’obtenir une prise en charge qu’acceptent certaines écoles professionnelles comme l’École Française. Zoom dans ce billet sur tout ce qu’il faut savoir d’essentiel à propos de cette loi sur la liberté de choisir son avenir professionnel.
Les avantages de la loi
Adoptée par l’Assemblée Nationale de France par 137 voix pour et 30 contre, cette loi est un texte législatif qui a pour but de permettre à tous les Français de choisir leur avenir professionnel. Cette loi permet à plusieurs catégories de travailleurs (salarié, indépendant, demandeur d’emploi, etc.) de suivre sans contrainte des formations correspondant à leurs besoins. La formation choisie est assurée par des fonds mutualisés. Elle permet notamment à tout salarié de poursuivre sa formation sans obligation d’informer son employeur. Si vous avez envie de vous reonvertir, par exemple, vous le pouvez en optant pour les formations à domicile de l’Ecole Française
Une formation prise en charge
Avec la loi nº 904 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, le gouvernement affirme sa volonté de lutter contre le chômage. Elle a été mise en vigueur pour améliorer les bas salaires par l’acquisition de nouvelles compétences tout au long de sa vie.
Avant cette loi, la formation était quasi exclusivement réservée aux demandeurs d’emploi ou aux salariés de grandes entreprises. Grâce à cette loi, tous les actifs ou demandeurs d’emploi possèdent désormais les mêmes droits sur ce sujet. Ils peuvent donc tous suivre des formations professionnelles.
La formation peut être subventionnée partiellement ou totalement par les fonds mutualisés CPF de la formation professionnelle. Il est estimé qu’un salarié qui se forme tous les 3 ans peut recevoir au minimum une rémunération supérieure et par ailleurs, connaîtra moins de périodes de chômages que celui qui ne se forme pas de façon continue.
Quelles relations entre formation et métier ?
La loi permet à tous les thèmes d’être éligibles. En effet, cette révolution mise en œuvre par l’État remet l’individu à l’école ou au centre de son choix de carrière. Grâce à cette réforme, le gouvernement envisage d’impliquer chaque Français dans son parcours professionnel.
Ce qui fait que tout individu est autorisé à suivre une formation dans un domaine autre que son champ professionnel. On peut dès lors renforcer ses capacités pour améliorer le salaire ou viser d’autres emplois plus rémunérateurs.
Une formation discrète garantie par la loi
Il n’est pas toujours aisé pour un salarié d’informer son employeur d’un projet de renforcement de capacité à travers une formation professionnelle. L’État a suggéré à ce titre que toute formation qui se réalise en dehors du travail bénéficie d’une confidentialité.
L’employeur ne sera donc pas informé qu’un tiers de son organisation suit une formation sans son approbation. À cet effet, les centres dont les formations sont financées par les fonds mutualisés peuvent inscrire l’intéressé sans jamais en parler ou contacter l’employeur.
Les types de formations éligibles
Pour qu’une formation soit financée par les fonds mutualisés, il est important qu’elle réponde à certaines conditions d’éligibilité. En effet, elle doit être certifiante et dispensée par un centre disposant d’un numéro de déclaration d’activité délivré par la préfecture.
Le centre devra posséder un label ou une certification qualité pour la circonstance. Pour s’assurer une prise en charge totale, il est nécessaire de choisir les formations de courte durée. En effet, les droits individuels sont soumis à un plafonnement. Une formation d’un mois peut aisément être acceptée.