Le growth hacking consiste à activer la croissance d’une entreprise notamment une startup en faisant recours à plusieurs techniques marketing. Le but est de donner un coup d’accélérateur au chiffre d’affaires de l’organisation. Pour mieux comprendre ce concept, il faudrait en revisiter les bases. Voici donc 5 points (AARRR) qui permettent de mieux comprendre ce concept.
L’acquisition
Ce premier point du growth hacking concerne l’origine des utilisateurs de la startup. Il existe dans ce cadre, différents canaux d’acquisition d’utilisateurs. On peut citer entre autres, les réseaux sociaux, les sites de référence, les SEO, la relation presse, etc.
L’identification de ces différentes sources aide l’organisation à mieux jauger l’engagement de ses utilisateurs. En effet, cela permettra de connaître plus précisément, les habitudes sur le site, le nombre de pages consultées, celles que les internautes préfèrent ou encore, le taux de rebond. Pour ce faire, il faudra suivre une formation en marketing digital afin de maîtriser la notion et ses contours.
L’activation
L’activation est le deuxième point du Framework AARRR. Cette étape permet de jauger le niveau de réceptivité des utilisateurs par rapport au produit. Vous pouvez savoir s’ils sont vraiment intéressés à travers la création de compte ou encore l’inscription à la newsletter. Pour mesurer le taux de transformation, la société doit déterminer si les utilisateurs ont réalisé les premiers objectifs. Certains tests permettent d’optimiser cette conversion.
Pour avoir le maximum de conversions, il est essentiel que la première expérience de l’utilisateur soit la plus aboutie possible : navigation fluide, des informations importantes facilement accessibles. Il faut également proposer des fonctionnalités variées et surtout allier qualité et quantité.
La rétention
Ici, il faut optimiser le taux de rétention. Pour ce faire, il faudra jauger le taux de fidélité de la cible et ensuite inciter cette dernière à faire un tour sur le site. Évidemment, il y a des utilisations qui effectueront une deuxième visite mais pour d’autres, une piqûre de rappel sera nécessaire. Il faudra donc recourir à l’e-mailing ciblé ou au retargeting. Cette étape est essentielle. En effet, si vous peinez à attirer des utilisateurs, il y a certainement un problème soit avec le site soit, avec le produit proposé.
Le referral
Quatrième point du growth hacking, le referral revient à transformer les utilisateurs en ambassadeurs de la marque. Le parrainage et le partage sur les réseaux sociaux doivent être mis en valeur auprès des utilisateurs. Il faut dire qu’il est beaucoup plus coûteux de fidéliser un client que de le pousser à faire un premier achat.
En fidélisant donc ses clients actuels, la startup parvient plus facilement à les transformer en ambassadeurs. Toutefois, il est indispensable que vos produits soient exempts de reproches. Une mauvaise expérience d’un client peut se répandre assez rapidement. Par ailleurs, le recours à des influenceurs est un autre moyen efficace pour optimiser le referral.
La revenue
L’heure est venue afin d’évoquer le volet financier. En tant que startup, vous devez déterminer quel montant les utilisateurs éventuels sont prêts à payer. Pour ce faire, le moyen le plus efficace est le testing. Commencez par faire une analyse exhaustive des obstacles qui empêchent la conversion. Cela vous aidera à mieux apporter des améliorations à votre stratégie globale. Ensuite, vous pourrez procéder à l’analyse et à l’amélioration du revenu moyen. Une astuce efficace pour accompagner la montée en gamme ainsi que les ventes additionnelles.